Le journal du NACK Août 2003, numéro 18  

L’Oumiak est le journal indispensable et attitré du NACK. Il vous informe sur la vie du club : activités à venir, compte-rendu de réunions, sorties, petites annonces…

Vous aussi faites-le vivre en envoyant vos infos pour la prochaine édition avant le 1er mardi de chaque mois, pour qu’il sorte vers le 15, sur papier, biscotte ou fichier Word ou laisser un message sur répondeur. Les responsables de commission et d’activité y sont particulièrement conviés.

Contacts : Elodie BIARD, 14 avenue de la Roche, 44521 COUFFE, 02 40 96 53 86 ou elodiebiard@nantes.fr

Nantes Atlantique Canoë Kayak : route de la Jonelière, 44240 La Chapelle sur Erdre,

02 40 29 25 71 ou nack.nantes@libertysurf.fr

Le site incontournable du club : nack.nantes.free.fr

EDITO

Mot de passe de cet été : canicule. Rassurez vous, on ne va pas vous refaire les journaux télévisés, d’autant plus que les kayakistes supportent finalement assez bien les changements de température (on l’avait déjà vu cet hiver).

Maintenant que la 6ème catégorie confirme une flottabilité maximale pour les k-mer, rien n’empêche de remplir nos bateaux à raz bord et de pouvoir naviguer moitié sur, moitié sous l’eau (faut bien trouver un intérêt à cette 6ème catégorie française, unique au monde!)

Pour la rivière et autres disciplines les embruns sont toujours présents, quand il y a de l’eau. Et quand il n’y a plus d’eau, comment régulez-vous la température ?

Au moins en mer, il y a toujours du liquide, même dans les caissons ! et les kayakistes de Bretagne Nord n’auront jamais eu une météo aussi clémente et agréable.

Même au Cap Fréhel : mer d’huile et soleil méditerranéen …., certainement que la Loire, la Savoie, les Pyrénées et l’Espagne…et toutes ces destinations torrides, ont dévoilé leurs secrets insoupçonnés par temps normal !

Bientôt la canicule sera un mauvais souvenir. Mais au Nack elle va persister : la rentrée sera chaude avec " Oliv and Co " pour relancer la compétition toutes disciplines confondues, et les rêves de pirogue (pour en avoir une au Nack) de plus en plus forts, vont peut être faire déplacer les rivières ……..A vos dossiers, à vos pagaies……et bonne rentrée : Les 2 zefs (Francis et Françoise)

 

CE QUI S’EST DIT A L’AG

Cette année, nous avions prévu une très grande salle, on peut dire qu’on a été à l’aise !

Après la présentation succincte des rapports des commissions, qui, cette année, avaient été tous remis par écrit dans les temps, puis le rapport moral du président, la grande nouveauté a été la présentation intégrale des comptes des exercices de 1999 à 2002.

On ne saura jamais trop remercier les courageux comptables et aides-comptables bénévoles qui ont travaillé avec acharnement pour mettre enfin à jour notre comptabilité. Les Bilans et Comptes de Résultat seront intégralement fournis dans le compte-rendu de l’AG lors du CA de septembre.

Cependant, nous pouvons d’ores et déjà vous assurer que les administrateurs qui se sont succédés au NACK depuis sa création ont su tenir les cordons de la bourse de manière exemplaire. Les Bilans établis montrent un excellent équilibre entre les ressources dont nous avons disposé et les emplois qui en ont été faits. Malgré des choix ambitieux comme l’achat du camion dès la première année, et un renouvellement progressif de la flotte de bateaux les années suivantes, la mise en place de cadres permanents, financés par les aides aux emplois jeunes, a permis un développement très rapide de nos activités. Les revenus ainsi générés, chaque année bénéficiaires, ont autofinancés nos investissements, tout en conservant une trésorerie positive. Sans entrer dans les détails, nous pouvons être fiers de ces résultats, qui viendront appuyer d’autant mieux le Projet de Développement qui a été présenté par Jean-Paul à nos différents partenaires.

L’exercice 2002/2003 que nous venons de clôturer, doit être finalisé cet été et présenté en septembre. Nous ne doutons pas qu’il sera dans la lignée des précédents.

Le deuxième temps fort de l’AG a été le débat sur l’adoption d’une convention collective. Conscients de l’impératif d’une adhésion à une CC pour apporter un cadre institutionnel à nos relations avec les salariés du club, tout en préservant nos intérêts réciproques, nous nous heurtons au choix de cette convention, et à la nécessité d’en évaluer le coût pour le club. Ne pouvant pas prendre de décision immédiate, l’AG a constitué une commission qui doit étudier le plus précisément possible ce sujet, avec un impératif de date pour rendre son rapport au nouveau C.A., étant entendu qu’une rétroaction est prévue de façon que la mise en place de la CC adoptée ait lieue dès le début du nouvel exercice.

Pour les votes qui ont suivi et l’élection du nouveau C.A., vous pourrez consulter le compte-rendu de l’AG à la rentrée, des exemplaires seront disponibles au club.

Francis

 

 

Le troisième temps fort était le vote de l’AG pour mettre en place cette saison une journée bénévolat " obligatoire ". qu’est ce que ça veut dire ?qu’est qu’on va m’obliger à faire ?j’en fait déjà assez ?..... j’entends déjà les questions fuser et c’est bien. Depuis un moment, on vous parle de manque de bénévoles sur certaines journées, ou certaines actions très ponctuelles et parfois y’a plein de monde sur une petite action. Alors, on s’est dit, après avoir vu que cela se déroulait très bien dans d’autres assos, que l’on pourrait l’intégrer dans la prise de licence en septembre. Une journée sur une année, ou 2 demies journées, pour donner un coup de main au club, sur des actions organisées et prévues par les permanents, c’est peu de chose mais pour le club, c’est beaucoup ! Un planning va sortir dès la rentrée par le permanents, du genre : Biathlon, baptêmes au camping, journée réparations matériel club, et bien sûr le planning des locations dès le mois d’avril, etc.… Je serais tentée de dire " les absents ont toujours… " mais c’est vrai que c’est l’AG représentative de vous qui l’a acceptée. Cette année est faite pour la mise en place du système (préparation des actions, suivi du travail réalisé…) , avec l’espoir que tous les adhérents comprennent que nous sommes une assos loi 1901, donc qui n’existe que par la (bonne ) volonté de ses membres, et qu’ainsi cela suscite un nouvel élan de bénévolat ; l’arrivée de nouveaux pour prendre le relais des anciens.

Ça change un peu du débat sur " la sécu "….. (je blague)

Elodie

 

LES RENDEZ-VOUS DE LA RENTREE

Impossible de reprendre le chemin de l’école ou du travail sans passer par la case " rentrée du club " ! !

Car le club reprend à fond ses activités et n’attend plus que vous et surtout votre présence indispensable à la méga soirée du club ( on garde les bonnes recettes : des braises et un coup à boire). Pour fêter nos champions, baptiser les nouveaux kayaks et ceux " homologués 6ème " et se raconter nos vacances, photos à l’appui, notez-le en rouge dans vos agendas :

 

VENDREDI 19 SEPTEMBRE DES 20H AU LOCAL MER

 

VOUS POUVEZ DEJA RESERVER VOTRE JB !! (Journée Bénévolat)

Pendant le we des Rendez-Vous de L’Erdre, la Ville de Nantes tient un stand nautisme (voile, aviron et CK) ; ils nous demandent donc quelques bénévoles pour le samedi 30 et le dimanche 31 de 12h à 19h, il faudrait 4 personnes pour pouvoir tourner. Dans l’optique de signer un plan canoë-kayak, il est indispensable d’être présent pour prouver notre volonté de travailler avec eux. Alors, 4 personnes c’est vite trouvé, mais il n’y a toujours personne à l’appel actuellement. Contact au bureau , merci. Le club recherche des personnes pour faire des démos et des baptêmes sur la pirogue, plus exactement sur 2 pirogues, le we du 20&21 septembre. Une pirogue à Couëron et une 2ème à St Gilles pendant les Championnat de France de long-board. Un BE sera là pour chaque we, il lui faut juste quelques allumés pour mettre le feu ! Contact au bureau, merci. Le camping du Petit Port organise une journée portes ouvertes et animations sportives , pour 1euro la journée. Nous avons bien sûr proposé nos canoës pour des baptêmes, il nous faudrait quelques personnes pour accueillir les touristes et les encadrer. Ça se passe dimanche 5 octobre, de 10h à 17h. Contact au bureau, merci. Parlez-en autour de vous, emmenez vos enfants, cousins, neveux et toute la smala, il fait encore beau temps ce we-là. DU COTE DES GROS PROJETS Depuis la bonne nouvelle d’un plan canoë avec la Ville, les permanents sont en ébullition et se retiennent de crier " victoire " comme à Austerlitz. Ils préparent donc sur papier avec des adhérents un beau projet à présenter à la Ville pour qu’elle nous finance du matériel , compétition et animation surtout, et qu’elle participe aux investissements et renouvellements de matériel. La base de travail est le Projet de Développement du club réalisé l’année dernière auquel s’ajoute le dossier de Nationale 1 du polo, les dossiers Pirogue, Dragon Boat, et K2 mer. Cela avance doucement mais sûrement, avec des étapes et des RDV officiels pour rencontrer les bonnes personnes dans le bon ordre. Si cela vous intéresse, branchez Grégoire là-dessus, il connaît tout.    

ET POLO ALORS ?

Et bien justement, avant la fiesta pour fêter la prodigieuse montée en N1, nos petits gars avaient déjà pensé qu’il faudrait du soutient pour poursuivre leur programme de devenir Champions du Monde 2012. Et surtout du soutient financier : recherche de sponsors, de collectivités publiques … dans quelques mois, ils viendront sonner aux portes… Et c’est du côté du Conseil Général qu’ils cherchent du soutient puisqu’il y a des projets de financement du haut niveau, car le K-Polo est passé haut niveau cette en 2002. Nous attendons donc impatiemment des nouvelles du dossier, la rédaction sera à l’affût de la moindre cachotterie qui s’échappera de la bouche de quelqu’un qui saura quelque chose.

Ailleurs en Belgique : à Dickebus, l’équipe des gars mélangés fait 1ère devant une foule admirative et surchauffée !! ils sont trop forts nos gaillards, il vont faire fureur en N1 et N3 la prochaine saison !

 

RAPPEL AUX COMPETITEURS

Pour participer aux compétitions 2004, vous devez fournir obligatoirement votre licence 2003/2004 avec un cachet médical. Passez votre visite à l’OMS à Beaulieu, c’est gratuit : 02 40 41 57 50, et en plus vous êtes très bien suivi d’années en années.

Pour toutes les disciplines, cette saison est toujours marquée par l’obligation d’avoir un niveau de pagaie couleur sur la licence. On vous en a déjà beaucoup parlé : formation, progression validée, homogène… Appel urgent donc aux commissions pour mettre en place le passage des pagaies couleur. Suivant les niveaux, un moniteur est suffisant. Les permanents peuvent vous aider mais sachez qu’ils sont " over bookés " jusqu’au Biathlon, et que le dimanche est parfois leur seul jour de repos…

Organisée à l’avance et bien encadrée, ça tourne tout seul.

ET POUR TOUS LES ADHERENTS …

N’oubliez pas de venir reprendre votre licence rapidement, souvenez-vous que la date pour l’assurance a changé : au 30 septembre vous ne serez plus assuré !! Inscrivez-vous dès maintenant avant le grand rush et inscrivez-vous à la fois pour une 1/2 journée un samedi pour accueillir les nouveaux.

REPRISE DE L’ECOLE DE PAGAIE

L’Ecole de pagaie reprend ses activités : dès samedi 13 septembre pour les anciens et les grands jeunes, 9h et 14h, le mercredi 17 pour les plus jeunes et les débutants, 14h.

ATTENTION A VOS AFFAIRES ET AU CLUB

Il y a eu encore une effraction cet été du bureau, et des vestiaires ont été visités en plein après-midi. N’oubliez pas de refermer le club derrière vous, même si vous savez que les copains vont passer après, on n’est jamais assez prudent.*

CET ETE SUR LES BORDS DE L’ERDRE

Il n’y avait pas d’algue !! Mais la presse nous a fait une " mauvaise presse " en juin, résultat moins de groupes et de jeunes et surtout quasiment pas de location , pourtant il faisait chaud … Il ne faut pas se cacher la face : l’Erdre n’est pas propre mais aucun seuil d’alerte n’a été dépassé. Il y a quelque règle minimum d’hygiène à respecter en sortant mais faire peur au public comme cela a été fait, ce n’est pas une solution non plus.

Ils se sont rattrapés sur la qualité de nos prestations, nous avons de très beaux articles sur les Erdre Nocturnes, qui ont très bien fonctionnées. Quand on présente l’Erdre sous un angle culturel et original, cela plaît énormément .

CET ETE AILLEURS

Le stage jeune dans les Alpes avec le CD44 et encadré par Alban et Damien s’est très très bien déroulé, on attend un petit mot pour le mois prochain….

AU CHAMPIONNATS DE FRANCE

Pas de médaille cette année pour cause de changement de catégorie mais les résultats sont très bons tout de même :

En Slalom, Baptiste fait 40ème et Olivier 2ème !! En descente, Paul fait 30 en junior, Baptiste 62 sur 200 en 1er année de cadet et Oliv&JB font un beau parcours…

Et pour fêter ça, ils en ont profité pour rapporter 2 bateaux de compet en promo.

LE VIEIL ARBRE EST TOMBE

Pourri jusqu’à la moelle par des champignons, il est tombé tout seul. Les gars de la SEVE sont venus abattre le deuxième par prévention. Du coup, on aura un préau encore plus grand…

UN GRAND MERCI QUI S’EST EGARE SUR LA TOILE…

Au papa de Rémi Mercier pour la pose du carrelage dans les 2 vestiaires du club. En 15 jours les 2 vestiaires ont été carrelés par M Mercier aidé de Jonathan, ce qui nous permet de profiter de vestiaires un peu plus chauds et surtout plus propres… si vous en prenez soin : raclette et balai sont à votre disposition dans le local pour ne pas laisser de trace de votre passage (niveau pagaie jaune…)

ENCORE DES VITALS

Déjà 2 Vitals sont arrivés et il en reste 2 autres pontés à livrer… Ces bateaux sont destinés au merathon mais aussi à tous ceux qui veulent avancer un peu plus sur l’Erdre. Pour le moment, ils sont au local 1 et ne demandent qu’à servir…Merci tout de même de respecter ce matériel qui doit pouvoir servir aussi bien au loisir qu’à la compétition.

 

L’ECHO DE LA MER

TOUR DE GROIX : 24 ET 25 MAI

Sur la plage de Kerguelen, à côté de Lorient, l’île de Groix semble à portée de pagaie. Elle est en fait à 3,5 miles, et donc accessible seulement avec des bateaux 6ème catégorie. 7 Nackistes affrontent les averses, et essaient de profiter des accalmies pour charger les Kmers avec tout le matériel nécessaire au bivouac.

16h : départ pour ENEZ GROEZ, vent de noroît 4 à 5. On longe la côte pour passer les hauts fonds, la traversée d’1h15 se déroule bien groupés. Les éclaircies entre les averses offrent des lumières splendides. Arnaud nous donne au passage ses commentaires sur les oiseaux marins. Petite halte à Port-Lay, et séance nostalgie pour captain Loïc qui y a vécu ses plus beaux souvenirs maritimes.

A la recherche d’un lieu de bivouac, nous longeons la côte est. Olivier P. joue avec le ferry, pendant que Christophe G. pêche 2 aiguillettes avec son nouveau système de moulinet spécial Kmer (plans et conseils de construction disponibles sur simple demande). Arrivés Pointe aux Chats, le campement repéré par Loïc lors de la sortie d’automne avec Gilles et Marie-Pierre est déjà occupé par des kayakistes peu sympathiques (eh oui, ce n’est pas incompatible !). On croit comprendre que cette petite troupe a loué des kmers pour faire de la pêche sous-marine, et qu’ils n’ont pas forcément envie que l’on compte les araignées ramassées…

Nous cherchons alors un lieu abrité du vent, et nous installons aux Sables Rouges. Là, la pluie nous quitte pour le reste du week-end. Nous piquons nos tentes en évaluant qu’avec un coeff 47 la mer ne montera pas jusqu’à nous.

Dimanche matin, après une nuit bercé par les vagues, on se doute qu’il va y avoir de la houle sur la côte sauvage. Effectivement, dès que l’on quitte notre crique, on retrouve un vent soutenu. La progression se fait à 2,5 nœuds (d’après le GPS d’Olivier D.), et assez loin des falaises, où les vagues déferlent. L’entrée de l’anse de Port Saint Nicolas est impressionnante : au départ on ne devine pas cette petite crique où rentre la houle entre les falaises, et puis on arrive dans un havre de calme qui rappelle la Corse. Malheureusement, les boulettes du prestige sont arrivées jusque là.

Après le pique-nique, retour sur nos montagnes russes, et un passage un peu délicat à la pointe de l’île, où chacun de nous aura " sa " vague et une petite poussée d’adrénaline. Petit temps calme au pied du sémaphore, où Arnaud et Martine essayent de sauver un goéland pris par un hameçon. On décide de rentrer directement vers le continent avec des vagues de ¾ (après celles de la côte sauvage, cela paraît presque calme). 1h30 après, nous sommes à Kerguelen à décharger nos bateaux, fatigués par 4h30 de vagues, mais avec déjà d’autres envies de rando.

A refaire avec pétole, pour faire du rase-cailloux sur la côte sauvage. Il y a des chances pour que Groix devienne un grand classique du NACK ! !

 

 

LOFT NACK

Le week-end du 15 et 16 février, le local mer ressemblait à une vraie fourmilière. La raison : les bricoleurs de la section mer avaient décidé de transformer le dessus du vestiaire en un lieu de convivialité (celui des poloïstes ayant sans doute suscité leur jalousie). Le résultat est à découvrir, et le lieu à s’approprier : salon d’attente avec les entraînements, garderie, coin refuge après les barbecues du club…

Pour l'agrémenter, nous sommes à la recherche d'une table basse, de fauteuils bas, poufs (je parle de meubles...), chauffeuses... Un tissu uni pourrait aussi être tendu au plafond. Si vous possédez ce type d'objets (même un peu kitchs) qui encombrent un coin de votre grenier, garage, ou cave, une donation sera acceptée (contre notre gratitude éternelle, voire une plaque de commémoration si vous meublez l'ensemble).

 

 

 

 

JOURNEE SECU

 

Choisissez un jour de grand beau temps,

Prenez un kayak, une pagaie, une combi

(même s'il semble faire très chaud, écoutez les conseils d'Anita…)

une éponge, une écope et un bout de remorquage,.

N'oubliez pas votre gilet de sauvetage !

Laissez-vous conduire jusqu'à une plage.

A la fin du pique-nique, soyez très attentif :

C'est le quart d'heure théorique :

VHF, canal 16, "may day",…

Météo, vent, règles de sécu,…

Essayez de tout enregistrer.

Former des triplettes,

Un manager, un débutant et un autre.

Tout le monde est équipé ?

On peut y aller !

Ecouter, essayer, essayer encore…

Les "pointes", "un à la mer", "deux à la mer",

"Trois à la mer", tous à la mer…

(Ceux qui bronzent sur la plage doivent trouver que ce sont là de bien piètres pagayeurs !)

On se récupère…

Vider le bateau, faire contrepoids,

Remorquer ou se hisser derrière un "récupérateur"…

Pagayer pour s'éloigner du chenal où le courant vous ramène,

Essayer encore… écoper l'eau embarquée.

Finir la sortie en longeant la côte,

(Certains en profitent pour se rincer l'œil en frôlant les plages des naturistes)

pour une balade (sans dessaler).

Voici les ingrédients et conduites à tenir pour passer une super journée. On est fatigué, on se fait quelques bleus mais on s'amuse, on attrape des fous rires et surtout on apprend les manoeuvres de sécurité dans la bonne humeur et la convivialité.

Maintenant, à nous les nav’, les dessalages sans paniquer !

(Des remerciements tout particuliers à Anita, l'organisatrice, à tous les managers, à Christophe qui allait d'un groupe à l'autre, au chauffeur du camion… et aussi à tous les participants ! –21 au total !)

Brigitte

 

BILLET D’HUMEUR :

SECURITE ET RESPONSABILITE : COLLECTIVES ET INDIVIDUELLES ?

 

La sécurité me semble être à la fois un état d’esprit et un apprentissage. Apprentissage pluriel : théorique sur la météo, les courants, les marées, et surtout pratique en essayant de comprendre au travers des sorties les possibilités et les limites du kayak sur notre terrain de jeu préféré : la mer. Apprentissage au long cours, qui demande plusieurs années…

Inconnue du kayak et du milieu maritime (mon enfance au bord de la Mayenne ne m’y ayant pas préparée), j’ai donné mes premiers coups de pagaie en 1995, et vite pris goût à l’eau salée. Mes premiers " maîtres d’apprentissage ", Charles, Etienne, Fabrice…, m’ont dès le début appris à conjuguer s’amuser et sécurité. En m’entraînant en eau vive (eh oui ! dans les archives du TCF, il y a peut-être encore une trace !) , ils m’ont même appris quelques rudiments techniques que j’ai surtout utilisé dans le golfe du Morbihan.

Quelques années plus tard, après des tas d’embruns et de souvenirs splendides en mer, j’ai eu la possibilité d’engranger des connaissances théoriques, notamment avec les cours météo de Francis, les topos de Loïc, et en piochant dans les dos existants dans le monde du Kmer (merci l’UKA !). J’en suis même à proposer des sorties aux débutants du club, tout en étant convaincue que seule je ne peux assurer leur sécurité.

Notre société s’américanise, et si malheureusement un jour il y a un pépin, on cherchera certainement LE responsable juridique. Ce risque n’est pas à nier. Mais qui est le responsable dans les sorties mer du NACK ? Notre Président préféré, qui descend peut-être à des kms de là une rivière dans les Pyrénées ? Le plus gradé du groupe ? Un ancien permanent de base de Kmer, un ancien moniteur de voile, celui qui a la pagaie la plus bleue foncée, celui qui a passé des niveaux de guide de kayak de mer (même si ce n’est pas reconnu par la fédé), celui qui a réservé le camion et le camping, ou celui qui fait la meilleure quiche ?

L’équipe mer fonctionne plutôt pas mal, même si le renouvellement des recrues et des bénévoles actifs peine un peu. J’ai la faiblesse de croire que la sécurité des sorties repose sur le collectif entier. Le niveau moyen des NACKistes adeptes de la mer a progressé au fil des années, au fil des échanges avec des kayakistes hors NACK, en croisant et en conjuguant nos connaissances théoriques, nos techniques kayak, et en s’appuyant les uns sur les autres en mer. Avec le départ des " référents ", nous avons appris à unir tout cela, et, sans prétention, nous sommes un bon groupe à avoir acquis " l’état d’esprit sécurité " et à vouloir le transmettre.

Sans vouloir minimiser qui que ce soit, je pense que personne n’a dans notre groupe à la fois toutes les compétences et la volonté pour assurer seul la totalité de la sécurité d’une sortie, dans une relation encadrant-encadré, de type BE-stagiaires.

Chacun à son niveau apporte à la sécurité  : tous en connaissant nos limites et en les exprimant, celui qui connaît le coin parce que sa grand-mère y habitait, les cracks de la nav’ en aidant à choisir le meilleur itinéraire, ceux qui avancent vite en se retournant et en attendant ceux qui avancent moins, ceux qui t’apprennent à surfer, ceux qui font demi-tour en 5 secondes pour secourir un dessalé…

Et quand toutes ces connaissances, ces compétences se coordonnent de façon naturelle, la sécurité est un état d’esprit qui n’est pas seulement là pour éviter le pire ou pour désigner un coupable en cas de drame. Elle sert à ce que tout se passe pour le mieux, pour le plaisir de naviguer en club.

A bientôt sur l’eau salée !

Anita

LA SECURITE EN MER , " PARDON "L’AUTONOMIE

Comme vous avez pu le constater, il est souvent question ces temps ci de sécurité dans les propos de la section mer, ce qui fait parfois réagir au club, " vous et votre sécu ", car d’après l’image que l’on ressent lors de certaines conversations avec des kayakistes d’autres sections, la mer serait très sécu (certains disent trop), très organisée etc…

Ceci étant forcément un peu vrai puisqu’à partir du moment où l’on quitte nos chères plages, nous voilà embarqués pour un bon moment, et pour notre activité, vêtements, nourriture, boissons (surtout la cave), instruments de nav etc…., sont autant d’éléments essentiels et incontournables qu’il faut préparer pour ne pas se mettre en difficulté.

Certes, ayant démarré l’activité en mer souvent moins jeunes que pour d’autres disciplines, les comportements s’inscrivent forcément dans une logique sportive d’adultes, mais sans pour autant que ceci ne soit complètement figé, car ce serait mal nous connaître (d’ailleurs nous connaît on vraiment bien ?).

Le besoin d’évasion, de progression , de dépassement est certainement aussi grand que chez tout un chacun, quelque soit son âge, mais sa satisfaction est liée aux aléas de la vie quotidienne, et professionnelle….et personnelle…..pour nous autres, adultes….

Lorsque les kayakistes de mer parlent de sécurité à l’heure actuelle, c’est surtout du désir d’autonomie qu’il s’agit, pour la plupart d’entre eux, un mot qui revient encore plus souvent dans leurs propos, plutôt que la crainte d’un manque de maîtrise à combler par la technique (même s’ils sont aussi conscients de leurs limites)

Désir de navigations plus longues, plus difficiles pour accéder à des endroits de rêve (c’est bien connu qu’il faut des efforts pour attendre le " Nirvana "), c’est ce qui motive à la 6ème catégorie, aux formations techniques proposées par le club ou par d’autres organismes (assez balaises sur la question auxquels les nackistes souscrivent avec beaucoup de motivations), un désir de progression très fort et de plus en plus perceptible…..

Les navigations s’en ressentent, et malgré quelques hésitations parfois, quand on n’est pas spécialement en forme (la sécu c’est aussi çà, savoir dire non ou j’y vais pas), la plupart des sorties occasionne des prises de responsabilités sur des initiatives que l’on s’autorise de plus en plus, l’apparition des " petites frayeurs " en toute sécurité, des nav en 6ème cat de plus en plus courantes et par tous les temps, des repérages divers dans des conditions pas toujours clean, aller dans les rouleaux…..

Malgré cela nous n’avons pas tous entièrement la même conception de la nav et de la sécu et c’est bien normal, au delà de certains paramètres incontournables, mais la chose certainement commune à toutes les disciplines sportives, paramètre qui passe souvent sous silence ou qui est à peine nommé sans qu’on ne s’y attarde, et pourtant un facteur important de la sécurité, est l’ambiance du groupe, l’aspect convivial et relationnel (pour moi au moins 50% de la sécu).

Un mot d’encouragement bien placé, une boisson chaude ravigotante, valoriser une réaction courageuse ou constructive, faire confiance à une personne en lui laissant prendre des initiatives adaptées, sans tout de suite interdire, créer une ambiance chaleureuse ou l’on pourra anticiper des questions non dénuées de sens, que l’on n’aurait pas osé poser dans un climat de tension ou simplement de non communication…., sont autant de facteurs préventifs de sécurité ou du moins des éléments de cohésion permettant à un groupe de se dépasser (un état d’esprit, certainement aussi important à avoir que des pagaies de couleurs).

Et si un jour un problème devait arriver (même minime d’ailleurs), puisqu’en France il faut toujours un coupable (qui pour le coup sera aussi responsable), et il y en aurait forcément un(e), la cohésion du groupe, serait un soutient et un réconfort non négligeable, face aux tracasseries et difficultés à affronter…

Dans notre discipline du kmer, nous avons la chance de pouvoir souvent respecter chacun dans ses conceptions, ses compétences et ses désirs, (départs de plages agitées ou de criques plus calmes rarement incompatibles dans une même sortie), l’essentiel étant que chacun progresse à son rythme, sans que les uns ne nuisent aux autres (et vice versa).

Alors, forts de tous ces enseignements, laissons nous emporter par l’appel du large……….

L’Insoumiake

LA SECURITE :ON EN PARLE……TROP ?

On en reparle , de la " sécu ", mais si les conversation dérivent, c’est parce que

l’on en fait un véritable fourre-tout. Parmi les points suivants, trouvez en un qui ne soit pas rattaché ou qui n’ai pas d’impact sur la sécurité d’une sortie : météo, technique de manœuvre, courants de marée, navigation, endurance, manip de récupération, observation du milieu et des phénomènes environnants, réparation et entretien du matériel, connaissance du milieu maritime et de son fonctionnement.

A mon sens tout ce qui précède est lié à la sécu. Mais en fait il s’agit de tout ce que l’on fait en kayak de mer. C’est notre environnement , notre espace réel de pratique .

C’est pourquoi je pense qu’il faut arrêter de parler de Sécurité mais parler de kayak de mer. Je ne joue pas sur les mots, dissocier , dans le langage courant la sécurité, du kayak, c’est dissocier la sécurité - du plaisir, ce même plaisir qui nous a amener un jour au bord de l’eau et fait enjamber l’hiloire.

Si je prolonge mon plaisir, je peux alors délaisser " La sécurité " à ceux qui en parlent, ceux qui savent, les anciens, les bons, les chefs et demander à mon club " un bon encadrement " pour les sorties…..c’est tout faut !

Les principes de sécurité ne sont que des principes qui permettent la pratique et le prolongement de la pratique du K-mer, je pense qu’aujourd’hui ils sont abordés trop tard dans le " cursus " type du club, et par là même la sécurité devient réservée à une élite, en option. Or, la première fois que l’on a mit les fesses dans un kayak, on a eu peur de tomber (non ?), lorsque le moniteur tourne la tête ou s’absente, les novices se serrent les coudes, s’entraident. Si l’on veut tout simplement pratiquer en dehors d’une séance encadrée, il faut donc s’organiser, à tous niveaux.

Il est sur que convaincre à propos de la sécurité par pétole, sans courant avec une eau à 21 °C demande beaucoup de persuasion. Je pense qu’il faut ouvrir les sorties débutant à des conditions météo moins soft quitte à faire des sorties plus courtes (et en ayant des plans de réchappe), ainsi les principes de la sécurité sont plus évidents, convaincant, et cela motive l’apprentissage, sinon cela arrive comme une contrainte à laquelle on peut se soustraire en s’appuyant systématiquement sur quelqu’un d’autre.

Le groupe et sa survie :

Il est avéré que 35% des Inuits qui chassaient en kayak mourraient en mer (il s’agit de jadis évidemment).

Le groupe : La notion de hiérarchie, de leader, de chef, et d’assisté, de sécurisé n’existe pas dans le domaine de la sécurité puisqu’elle se base sur le principe de la faillibilité individuelle, et un principe de solidarité de l’ordre du réflexe. En aidant l’autre on s’aide soi même…..un peu plus loin. C’est pourquoi je pense que ces notions doivent être abordées sérieusement dès le départ. Jean Malaurie (ethnologue de référence sur les peuples Inuits) a décrit la communauté esquimaude du Groenland comme " anarcho-communaliste " ", il faut en retenir le fait de la liberté, des qualités individuelles requises (courage, humilité, observation, adaptation, pugnacité) et le principe d’avoir quelque chose en commun, notre vie, notre plaisir, notre mode de pratique (jadis une nécessité, aujourd’hui un choix), ce quelque chose que l’on partage, le groupe n’étant au final qu’une seule et même entité, celle qui permet à chaque individu d’exister lui même.

Cette entité a donc organisé des outils propre a sa survie, parmi ceux-là, les techniques de sauvetage en kayak, des ‘récup’ de différentes sortes jusqu’aux compétitions d’esquimautage (20 différentes !).

L’esquimautage pourrait couper court à tout entraînement collectif de techniques de sauvetage, on pourrait penser que " à chacun pour sa gueule " de s’entraîner, si on appréhende mal les raisons qui ont sans doute amener à développer cette techniques.

Le kayak, a son origine, outils de chasse et de survie pour le groupe la communauté, se pratique aussi seul (comme beaucoup de chasseurs, on a ses coins à soit, qu’il faut savoir approcher discrètement, sans bruits…), aussi savoir se récupérer seul devient primordiale , dans de l’eau à 3°C ! ! L’hypothermie guette ceux qui attendent les amis kayakistes pour faire une récup standard . A cette température là, les secondes comptent. Chez nous il fait tout de même un peu plus chaud, et on pratique à plusieurs (sauf souvent les chasseurs en apnée pour les mêmes raisons que les esquimaux) on peut donc s’appuyer un peu plus encore sur le principe d’une sécurité collective. D’ailleurs les chasses les plus dangereuses étaient pratiquées à plusieurs (chasse au morse) et la bête dépecée sur la grève était partagée entre tous , quel plaisir  de naviguer à plusieurs !

Pour en terminer avec le principe " anarcho-communaliste ", notez que chaque kayakiste (donc chasseur) était indépendant, ramenant de quoi nourrir sa famille et aussi ceux qui n’avaient rien (la survie du groupe), il n’avait donc pas de hiérarchie sur l’eau, chacun devant apprendre à naviguer, à pagayer par soi même, avec le conseils des autres, en hommes libres , en communauté, malgré les conditions très hostiles (les famines étaient régulières), ils ont su développer ces si beau bateaux que l’on à peine modifiés aujourd’hui.

Essayer de les imiter, c’est compter sur des hommes, sur soit, et grandir avec eux dans la peau d’un petit Aputsiak .

Loïc

  1. NON CE N’EST PAS LE N° D’UNE NOUVELLE BIERE,

MAIS CELUI DES SECOURS EN MER

1616 : numéro d’urgence pour les secours en mer, est accessible depuis fin Juin, uniquement par téléphone portable à partir du Morbihan, de la Charente Maritime et du Var.

Celui-ci pourrait être étendu à l’ensemble du littoral français l’année prochaine, a annoncé le secrétaire d’Etat aux transports et à la mer : Dominique BUSSEREAU.

Article paru dans Presse océan le 30 juillet 2003.

Les commentaires de Francis et Françoise (les 2 zefs):

Service intéressant pour la navigation côtière, mais il faut savoir que la distance maximale entre le téléphone et 1 antenne GSM, ne peut guère dépasser 1 km (1/2 mille nautique)

Une VHF portable (5 watts) peut être opérationnelle jusqu’à 4 ou 5 milles d’un récepteur (environ 10 km).

Une VHF fixe (25 watts) peut être opérationnelle jusqu’à 30 ou 40 milles (en fonction de la hauteur de l’antenne).

D’autre part, de nombreux propriétaires de bateaux et les professionnels de la mer sont équipés de VHF fixes en veille permanente (canal 16) parce que c’est obligatoire. Ceci permet de déclencher des interventions beaucoup plus rapides par des bateaux étant sur zone, alors que le portable ne peut que déclencher des secours dépêchés par les CROSS(*) (vitesse d’intervention moins rapide).

L’intérêt de l’administration pour la mise en œuvre des secours par portable concerne le littoral , surtout la bande des 300 m, avec le risque pour certaines personnes d’être moins vigilantes (car plus assistées) et de voir déclencher des secours pour pas grand chose.

Bien qu’étant quand même utile quand il est utilisé à bon escient, le portable a déjà sauvé des vies en montagne comme en mer, et ce n’est donc pas négligeable non plus. Il est encore loin de détrôner la VHF, incontournable pour les randos de nos chères embarcations qui ne sont plus désormais, pour la plupart d’entre elles, des engins de plage, on vous le rappelle (6e catégorie = 2 milles nautiques d’un abri).

Le portable donc pour le barbotage,

La VHF pour les nav. de chef

(*) CROSS : Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage)

L’Insoumiake

P.S. 1. Je suis motivée pour passer le permis VHF (certificat radiotéléphonie restreinte je crois !), si d’autres le sont aussi, on pourrait peut être voir pour faire baisser le prix, donc faites signe. 06.88.84.52.02. ou f.brulport@free.fr

P.S.2. Le topo de Loïc sur l’utilisation de la VHF est dispo dans le classeur bleu (très bien fait)

CHANGEMENT D’EQUIPE

" Il faut savoir passer le relais avant de ressembler à un vieux croûton  petit scarabée " me disait mon maître thaï. Et c’est donc sur ces bonnes paroles que je vais délaisser mon poste de rédac-chef et vice-présidente pour redevenir une simple adhérente, que j’étais tout de même. Pour l’oumiak, une équipe se construit autour de Régis, Manumanu, Françoise et tous les responsables de commission qui voudront bien rassembler les écrits de leurs brebis, ainsi que d’autres personnes qui se rajouteront pendant la saison. Pour la vice-présidence , il n’y a pas de remplaçant, mais une bonne équipe autour de Jean-Paul suffira (en fait, je me rends compte que j’aime bien les titres honorifiques… je peux rester chef de quelque chose ?... même responsable approvisionnement en gobelets ça me suffirait…).

Alors bonne rentrée et à bientôt sur l’eau !

Elodie

Voici un beau projet club pour cette rentrée 2004

LE NACK VA- T - IL ETRE LE PLUS GROS CLUB PRESENT

A LA COUPE D'EUROPE DE PIROGUE ? ? ? ? ? ? ? ?

Voilà le topo :

Le 11 & 12 octobre 2003 en Baie de Somme, il y aura le célèbre Rallye de la Baie de Phoques & Grand Prix International of Sea Kayaks ! ! ! ! Comme d'habitude, c'est le must au niveau organisation, le site est tip-top, Greg connaît par cour pour briffer tout le monde et ça compte de sélective pour la saison de Merathon 04 !

Mais en plus cette année, c'est la 1ère Coupe d'Europe de VA'A (parcours 22 km)! ! ! Et il n'y pas de sélection ! ! ! ! ! C'est donc ouvert à tous !

Alors, voilà, le NACK ne pourrait il pas engager

a.. une pirogue masculine ? 6 personnes

b.. une pirogue féminine ? ? 6 nanas

c.. une pirogue junior ? ? ? 6 jeunes

On peut récupérer des pirogues. Ce n'est une bonne excuse. Et participer à un tel événement avec super bouffe, courses retransmises sur écrans géants, soirée polynésienne. Et 1 pirogue V6 à gagner !

Inscription avant le 1 octobre ! (10 Euros/pers)

Entraînement à faire à la rentrée sans trop de stress. C'est pour le fun !

Inscription au bureau et organisation

Greg